La plage
L’arbre
Mon Bourriquet
Si j’ai un chagrin je te serre contre moi et ça passe…
Quel est ton secret pour apporter tellement de réconfort à autant de gens, pour les petits et les grands de tous les âges ?
Tu es inimitable, irremplaçable, mon boubou chéri !
J’espère que toujours, tu apporteras de la douceur aux générations à venir.
Ton petit air mélancolique me fais craquer, j’ai sans arrêt envie de te prendre dans mes bras pour te câliner. c’est ça ton secret ? Merci pour le bonheur que tu m’apportes chaque jour, qui fait que je garde mon âme d’enfant, cette insouciance qui nous fait voir le monde avec plus de douceur, ce monde cruel où les massacres sont journaliers, où les enfants connaissent la guerre, la misère, le dénuement le plus total.
Alors, mon Boubou tu es là , avec tes beaux yeux tristes et tu m’apaises quand mon âme se révolte devant des images de cruauté.
De gros bisous plein de douceurs pour tous ceux et toutes celles qui lisent ce message et ont une douce pensée pour moi
On
pourrait dire que l’ Estaque est un village de Marseille qui n’est pas à
Marseille ; tout d’abord en raison de l’éloignement géographique du
quartier par rapport au centre-ville mais aussi pour l’atmosphère qui y
règne.
L’Estaque, en Provençal " Estaco ", veut dire
l’attache, celle qui permet d’amarrer les bateaux à un pieu. Leur saint
Patron San Peiro l’estaco (Saint Pierre es Liens) est fêté toutes les
années, le 1er week end de septembre.
C’est un village au bord de
la mer, avec son port de plaisance, ses plages, et ses terrasses de
cafés que les marseillais aiment à fréquenter le week-end. Ce petit
village est resté longtemps à l’écart, du moins jusqu’en 1900 où la
route est arrivée, précédée en 1892 par le tramway à vapeur. Le quartier
ne possédait jusqu’alors qu’une seule voie charretière.
En restant dans la beauté du paysage…vieilles pierres, vieux quartier de Marseille, L’ Estaque petit port.
Et le ciel…ce bleu…aussi beau que les toiles
le peintre c’est Adolphe Monticelli…il y a ses œuvres et d’autres contemporains (de Monticelli) provençaux
La mer
la végétation
Les panisses de l’Estaque
Les chichis de l’Estaque
L’aube est moins claire…
L’aube est moins claire, l’air moins chaud, le ciel moins pur ;
Le soir brumeux ternit les astres de l’azur.
Les longs jours sont passés ; les mois charmants finissent,
Hélas ! voici déjà les arbres qui jaunissent !
Comme le temps s’en va d’un pas précipité !
Il semble que nos yeux, qu’éblouissait l’été,
Ont à peine eu le temps de voir les feuilles vertes.
Pour qui vit, comme moi, les fenêtres ouvertes,
L’automne est triste avec sa bise et son brouillard.
Et l’été qui s’enfuit est un ami qui part.
Adieu, dit cette voix qui dans notre âme pleure,
Adieu ciel bleu ! beau ciel qu’un souffle tiède effleure !
Voluptés du grand air, bruits d’ailes dans les bois,
Promenades, ravins pleins de lointaines voix,
Fleurs, bonheur innocent des âmes apaisées,
Adieu, rayonnements ! aubes ! chansons ! rosées !
Puis tout bas on ajoute : ô jours bénis et doux !
Hélas ! vous reviendrez ! me retrouverez-vous ?
Victor Hugo