- Qu'il est triste que nous n'ayons pas d'enfant. Chez nous, tout est silencieux ; chez les autres il y a du bruit et l'on est joyeux.
- Oui, répondit sa femme en murmurant, même s'il n'y en avait qu'un, même s'il était tout petit, grand comme un pouce, je serais bien contente. Nous l'aimerions quand même de tout notre coeur.
Il arriva alors que la femme tomba malade. Au bout de sept mois, un enfant naquit, fort bien conformé, mais pas plus grand que le pouce. Alors, les parents dirent :
- Il est comme nous l'avions souhaité ; il faut que nous l'aimions.
C'est "la différence" qui est traitée ici, alors aimons-nous les uns les autres, et regardons avec gentillesse toute personne ayant un handicap.
Sous la fiction se profile la plume de l'auteur, constituant sa pensée afin de lutter contre toutes formes d'intolérances , par le conte philosophique le lecteur ouvre les yeux sur certaines réalités.
Très bonne journée amies et amis de ce petit monde de blogs.
oh oui aimer de tout son coeur ! C'est beau ! je t'embrasse