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LE SOURIRE
Il naît d’un plissement de lèvres
Réconforte quand on se désespère
Il est le compagnon de l’ami sincère
Que l’on découvre en levant les paupières
Il a pour écrin notre cœur
Il sait calmer les pleurs
Rassurer dans nos peurs
Il apporte le bonheur
Il nous offre sa chaleur
Il est d’une grande valeur
Il n’est pas le fruit d’un dur labeur
Mais ne coûte rien à son donneur
Il est le complice de ma vie
Il accompagne mes poésies
Il éclaire bien souvent mes nuits
On ne peut vivre sans lui
Il est le compagnon des rendez vous
Des baisers les plus doux
De la tendresse qu’il y a en nous
Quand le « JE » devient « NOUS »
C’est lui qui apparaît lors des naissances
C’est lui qui devrait bercer notre enfance
Il est la charnière de notre adolescence
Le gardien de nos espérances
Vous qui lisez ces quelques mots
Offrez le tel un cadeau
Le monde en sera que plus beau
Et je ne saurais finir
Sans vous sourire…Georges Azzopardi
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A vous toutes et tous qui passez sur mon blog.
Merci pour vos gentils vœux d'anniversaire.
Pour Primerose, mon amie est sortie aujourd'hui pour aller en clinique de rééducation et de repos où on a pu prendre son mari très fatigué avec elle.
J'espère que les analyses qui vont suivre seront bonnes et lui permettront de partir dans les Alpes comme toutes les années.
Pour vous un poème d'Alfred de Musset
Il faut, dans ce bas monde, aimer beaucoup de choses,
Pour savoir, après tout, ce qu’on aime le mieux,
Les bonbons, l’Océan, le jeu, l’azur des cieux,
Les femmes, les chevaux, les lauriers et les roses.Il faut fouler aux pieds des fleurs à peine écloses ;
Il faut beaucoup pleurer, dire beaucoup d’adieux.
Puis le coeur s’aperçoit qu’il est devenu vieux,
Et l’effet qui s’en va nous découvre les causes.De ces biens passagers que l’on goûte à demi,
Le meilleur qui nous reste est un ancien ami.
On se brouille, on se fuit. Qu’un hasard nous rassemble,On s’approche, on sourit, la main touche la main,
Et nous nous souvenons que nous marchions ensemble,
Que l’âme est immortelle, et qu’hier c’est demain.Alfred de Musset
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L'oiseau qui veut guérir
s'offre aux rayons du soleil,
recherche la lumière, la puissance
qui donne renouvelle la vie.
Ne prends pas refuge dans l'obscurité
comme si tu cherchais à mourir.
Expose-toi, au feu de l'Esprit,
qui renforcera ton âme,
ranimera ta vitalité perdue.
Le mystérieux esprit qui se tient en toi
est capable de bien des prodiges
Il a le pouvoir de ramener
le printemps au milieu de l'hiver.
C'est lui qui gouverne
les saisons de l'âme.
Sagesse Amérindienne
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Quelqu'un meurt,
Et c'est comme des pas
Qui s'arrêtent.
Mais si c'était un départ
Pour un nouveau voyage...
Quelqu'un meurt,
Et c'est comme une porte
Qui claque.
Mais si c'était un passage
S'ouvrant sur d'autres paysages...
Quelqu'un meurt,
Et c'est comme un arbre
Qui tombe,
Mais si c'était une graine
Germant dans une terre nouvelle...
Quelqu'un meurt,
Et c'est comme un silence
Qui hurle.
Mais s'il nous aidait
à entendre La fragile musique de la vie...
(Benoît Marchon)
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