• Qui n'a pas eu peur un jour de passer sous une échelle ?
    l'échelle a un rapport avec la mort du Christ : parce qu'on en avait appuyé une sur la croix lors de la crucifixion, elle devint un symbole de cruauté, de trahison et de mort.
    Passer sous une échelle revenait à courir à sa perte.
    Au 17ème siècle, on obligeait les condamnés à mort à passer sous une échelle, tandis que le bourreau la contournait.
    Toutes ces légendes ont laissé en nous une certaine angoisse, nous lui faisons face en essayant de nous protéger.
    Nous avons souvent sur nous un "grigri", nous cherchons le rare trèfle à quatre feuilles dans un champ où parmi les nombreux à trois feuilles, nous ne trouvons jamais celui que nous voudrions.

    Ceux qui jouent rarement au loto se laisseront tenter un vendredi 13;

    Certains se réfèrent à un rituel religieux avant de passer un concours ou un entretien pro en allumant une bougie, en portant un souvenir familial porte-bonheur, en mettant le même jean avec lequel nous avons réussi une fois !

    Nous essayons de conjurer le mauvais sort avec ces signes qui combattent notre angoisse.

    Nous pensons avoir une réserve de magie qui nous soutient et nous réconforte, face à un danger que nous ne connaissons pas encore mais qui rode autour de nous.

    Même si je n'y crois pas vraiment, j'évite de passer sous une échelle et j'allume une bougie quand mes enfants passent un concours...peut être vous , touchez vous du bois, n'aimez pas les chats noirs, portez vous une médaille protectrice...chacun, chacune a ses petits rites de conjuration pour lutter contre cette angoisse commune depuis la nuit des temps à tous les humains.


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    ll y avait un garçon qui s'en alla seul dans le monde.
    Il alla dans la plaine déserte.
    Tous les animaux le fuyaient.
    Il alla d'abord aux gazelles ; elles le fuirent.
    Il alla aux antilopes ; elles le fuirent.
    Il alla aux impalas ; ils le fuirent.
    Il alla aux zèbres ; ils le fuirent.
    Il alla aux lions ; ils le fuirent.
    Il alla aux girafes ; elles le fuirent.
    Il alla aux éléphants ; ils le fuirent.
    Et toujours ainsi jusqu'à ce qu'il arrivât aux autruches ; elles restèrent près de lui.
    Il habita avec elles et il devint leur compagnon. Quand elles se couchaient, elles ouvraient leurs ailes et il s'endormait entre elles.
    Elles l'habillaient de leurs plumes.
    Il mangeait leur nourriture, excepté les petites pierres qui étaient trop dures pour lui.
    Quand il grandit, ses cheveux grandirent avec lui et il en vint à les porter traînant à terre.


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  • la Principauté de Monaco est limitrophe avec quatre communes du département français des Alpes-Maritimes (d’ouest en est : Cap d’Ail, La Turbie, Beausoleil et Roquebrune Cap-Martin) et possède une façade sur la Méditerranée.
    La dynastie des Grimaldi préside aux destinées de la Principauté de Monaco depuis plus de sept siècles. Cette longévité illustre l'unité nationale des Princes et du Peuple monégasque.
    Source (mairie de Monaco)

    Quelques photos pour une promenade dans un lieu magique.

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  • " Je l'ai croisé un jour, l'étranger sans pays

    Il avait dans les yeux comme une ville en flammes

    Il semblait revenir des cités de l'oubli

    DE ces déserts de nuit où s'enlisent les âmes

    Il m'a tendu la main, mais pas comme on mendie

    Comme on veut caresser quand on n'a rien à dire

    Il m'a tendu la main comme on pardonne aussi

    D'avoir été si seul à traverser le pire...

    ET dans un fol espoir, il est venu vers moi

    comme un cœur essoufflé quand il est déjà tard

    mais quand il est passé c'est moi qui ai eu froid

    c'est moi qui n'ai pas su retenir son regard...

    Alors, il est parti, il a quitté ma terre

    son silence a hurlé plus fort qu'un cri d'amour

    moi j'ai cherché partout ses pas dans la poussière

    son nom, comme un regret sur le chemin des jours.

    Si vous le rencontrez au froid de son hiver

    allumez un amour pour adoucir sa vie

    ne laissez pas l'espoir quitter son univers

    DITES LUI QUE CHEZ NOUS

    IL EST AUSSI CHEZ LUI"
    J.F. Bernardini

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  • Bonne soirée et bonne nuit , ce soir ce sera un petit poème : Je donne la parole à mon chat :

    Ma maîtresse, mon amie (mon esclave, sous entendu)
    Toi qui m'offre la douce quiétude de ton foyer.
    Respecte mon goût de la liberté
    Et ne m'enchaîne à toi (je ne risque pas de te laisser partir !)
    Que par les sentiments qui nous lient.
    Ta présence fait mon bonheur,
    Mais je médite; (tu parles !)
    Ne cherche pas à deviner mes pensées (est-ce l'heure de manger ? de dormir ? de miauler ? de LA réveiller ?)
    J'ai gardé le goût sauvage du secret.(hum)
    Ne trouble pas mon sommeil, (je ne risque pas !)
    Il est nécessaire à mon équilibre.
    Et lorsqu'à toi je viens
    Donne moi abondance de caresses.(je suis là pour ça )
    Pour mon péché de gourmandise pardonné (ton appétit féroce tu veux dire !)
    Te sera acquise toute mon amitié. (Oui, mon minou chéri, je ferai tout ce que tu voudras, comme d'habitude !)Image hébergée par servimg.com

    Inconnu et moi


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